Installer Gitso – pour les débutants et les autres

Pour compléter l’article sur Gitso, logiciel malin pour aider les autres à distance, voici comment installer Gitso. Ce logiciel a beau tout simplifier pour la personne qui a besoin d’aide sur son ordinateur, il faut tout de même qu’elle fasse sa petite part.

Les 2 personnes, celle qui va apporter son aide et celle qui appelle au secours, doivent chacune installer Gitso sur leur ordinateur. Si la première ne peut pas se déplacer pour installer Gitso chez la deuxième, il faut bien que cette dernière fasse le boulot. Ce n’est pas compliqué du tout et c’est instructif.

Gitso dans les dépôts de Debian Wheezy

Gitso est dans le dépôt Backports de Debian Wheezy. Pour ceux qui ont installé Gitso depuis le paquet DEB (ancienne méthode), il est préférable de le supprimer, par sûreté, avant de l’installer avec APT :

sudo apt-get purge gitso

Patientez jusqu’à ce que tout soit terminé (retour de l’invite).

Pour installer Gitso très facilement, il vous faut peut-être modifier le fichier /etc/apt/sources.list. Voici comment faire, facilement.
Toutes les commandes dans le terminal sont à exécuter en appuyant sur la touche du clavier. Respectez les espaces et les minuscules.

Modifier le fichier /etc/apt/sources.list

Lancez le terminal pour lancer Leafpad, éditeur de texte, par exemple, et le fichier à modifier :

sudo leafpad /etc/apt/sources.list

Le fichier sources.list s’affiche dans Leafpad et vous pouvez le modifier. Son contenu ressemble à ceci :

## DEBIAN WHEEZY
 deb http://http.debian.net/debian/ wheezy main

## DEBIAN SECURITY
deb http://security.debian.org/ wheezy/updates main

##DEBIAN BACKPORTS
# deb http://http.debian.net/debian/ wheezy-backports main

Vous voyez que la ligne dans la section «##DEBIAN BACKPORTS» est précédée d’un signe # :

# deb http://http.debian.net/debian/ wheezy-backports main

Il suffit de supprimer ce signe # pour que cette ligne soit active. Donc vous devez maintenant avoir ceci, dans la section ##DEBIAN BACKPORTS :

##DEBIAN BACKPORTS
 deb http://http.debian.net/debian/ wheezy-backports main

Vous devez maintenant enregistrer le fichier dans Leafpad (Menu «Fichier» > «Enregistrer») et vous pouvez fermer Leafpad mais ne fermez pas le terminal.

Mettre à jour la liste des dépôts

Dans le terminal, tapez la commande suivante (et appuyez sur la touche [Entrée] du clavier, évidemment) :

sudo apt-get update && sudo apt-get -t wheezy-backports install gitso

Respectez bien les espaces. Par exemple, -t est isolé par un espace avant et après. Si vous utilisez aptitude au lieu de apt-get, adaptez la commande.

Patientez jusqu’au retour de l’invite sur le terminal. Gitso est maintenant accessible par le menu général de LXDE > «Internet».

La suite de cet article ne vous concerne donc pas car vous venez d’installer Gitso de la manière la plus simple et la plus sûre.

Gitso dans les dépôts de Debian Jessie

Gitso est dans les dépôts «main» de Debian Jessie (Debian 8), donc pour l’installer, vous n’avez pas besoin de modifier la sources.list comme pour Debian Wheezy.
Pour installer Gitso, il suffit de cette commande :

sudo apt-get update && sudo apt-get install gitso

Installation à partir du paquet DEB

Voici deux méthodes pour installer Gitso à partir de son paquet DEB:

  • la méthode pour débutants, graphique et tout en clics,
  • la méthode pour les audacieux ou les tenants de la ligne de commande qui est d’ailleurs plus rapide.

Gitso ne se trouve pas dans les dépôts d’Ubuntu (en déc. 2015), donc il faut l’installer manuellement, si vous avez Ubuntu ou une de ses nombreuses variantes ou dérivées (mais c’est très automatique, rien à voir avec de la compilation).

La version la plus récente pour les distributions Ubuntu, ses variantes et dérivées, ainsi que pour Debian et ses dérivées se trouve en première ligne sur cette page: code.google.com/p/gitso/downloads/list. Dans la colonne intitulée «filename», vous voyez un lien «gitso_0.6.2_all.deb» et juste à gauche une petite flèche verte dans un petit rectangle.

Il se peut qu’une version plus récente apparaisse un jour prochain. Dans ce cas, prenez toujours la version la plus récente, à moins qu’on vous ait prévenus qu’elle ne marche pas bien.

  • Les débutants timides pourront cliquer sur cette flèche et suivre les instructions ci-dessous.
  • Les téméraires et habitués de la ligne de commande pourront cliquer sur le lien gitso_0.6.2_all.deb présent dans la colonne «Filename» pour afficher une page présentant le lien exact (qui se termine en .deb et suivre (ou non) les instructions ci-après.

Installer Gitso, méthode pour débutants

Visite guidée avec copies de fenêtres, pas à pas, mais elles sont en anglais. La traduction accompagne chaque étape ;-) Vous pouvez afficher chaque image dans un onglet et ajouter un commentaire ou poser une question si telle image ou l’étape liée à cette image vous rend perplexe, après contemplation et relecture ;-)

Vous avez donc cliqué sur la flèche verte (voir plus haut) et voici la petite fenêtre de téléchargement que vous affiche l’aimable Firefox (ou Iceweasel pour les Debian, ou encore Abrowser pour Trisquel):

Telechargement de Gitso,

Vous savez que vous êtes en compagnie de Firefox, il suffit de regarder l’icône qui figure à gauche sur la barre noire de la fenêtre (chez vous, cette barre est sans doute d’une tout autre couleur, peu importe).

Firefox vous propose soit d’ouvrir le paquet DEB, soit de le télécharger. Dans le cas ci-dessus, rien n’indique un programme associé à l’ouverture de ce fichier et c’est parfois coton pour aller chercher le bon programme (bouton «Browse» = «Allez choisir». Ne vous cassez pas la tête. Il vous faut Gdebi, utilitaire qui décompresse (ouvre le paquet et extrait les fichiers) et installe le logiciel qui est sous forme d’un paquet DEB. Si vous ne trouvez pas Gdebi dans la liste déroulante en face d’«Open with» («Ouvrir avec»), allez au plus simple, cliquez sur le bouton-radio «Enregistrer» ou «Télécharger» (ici «Save File»).

Si vous avez pu choisir «Ouvrir avec Gdebi», sautez l’étape suivante. Sinon, continuez la lecture.

Voilà, Firefox a téléchargé votre paquet DEB. Vous ne savez pas où il s’est mis, pas grave. Regardez la fenêtre de téléchargement («Download») ci-dessous: on y lit le nom du paquet que Firefox vient de vous télécharger:

Gitso téléchargé

Suivez les instructions que je vous ai indiquées en rouge sur cette image:

Ouvrir Gitso avec Gdebi

  1. Clic droit sur la ligne «gitso…deb», ce qui affiche le menu contextuel que vous voyez sur cette image
  2. Clic gauche sur la première ligne du menu qui propose d’ouvrir votre paquet: «Open»

Vous avez cliqué courageusement, ce qui ouvre la fenêtre de Gdebi, l’installateur de paquets («Package Installer»):

Fenetre de Gdebi

Entouré de vert vif, des détails intéressants: Il faudra installer 11 paquets qui sont nécessaires au bon fonctionnement de Gdebi. Sans même que vous preniez la peine d’afficher les «Détails», Gdebi vous fait un résumé dans le champ inférieur («Description»): marqué de vert vif, les paquets principaux: du Python (ça n’est pas dangereux, c’est juste un langage de programmation) et du VNC, qui permet d’agir sur un bureau à distance, avec les outils pour l’afficher. Mais c’est Gdebi qui se charge du boulot, et il vous informe de ce qui va être installé.

Vous pouvez sans frémir cliquer sur le bouton «Install Package», autrement dit «Installer le paquet».

Que se passe-t-il maintenant? Gdebi télécharge et installe les 11 paquets dont dépend Gitso, puis il installe Gitso. Donc, soyez patients, cela peut prendre un peu de temps:

Gdebi installe Gitso

Soyez sans inquiétude, Gdebi vous avertit quand tout est terminé. Lisez bien, c’est un peu comme sur l’image ci-dessus: eh oui, «Installation terminée» («Installation finished»). Vous pouvez quitter Gdebi en cliquant sur le bouton «Fermer» («Close»).

À présent, Gitso devrait se trouver dans le menu général de votre GNU/Linux, rayon «Internet» ou «Réseau», selon les distributions.

Note pour les utilisateurs d’Ubuntu (pas Lubuntu ou autre) affublé par défaut de Unity: Si Ubuntu vous propose d’ouvrir le paquet DEB avec Ubuntu Sofware Center, obéissez gentiment, puis cliquez sur le bouton «Installer», ce qui devrait vous assurer que Gitso se range bien dans Unity. Ensuite, pour lancer Gitso, clic sur l’icône sans couleur tout en haut de la barre de lancement, taper «Gits» (sans les «»), et Unity devrait vous l’apporter directement, et enfin, clic sur l’icône de Gitso.

Vous avez fait le plus dur, ouf. Il est temps maintenant d’aller voir comment utiliser Gitso: Gitso, logiciel malin pour aider les autres à distance.

Installer Gitso en ligne de commande

C’est tout simple. Après avoir bien vérifié le lien vers la dernière version de Gitso (voir plus haut), il suffit de lancer le terminal et d’exécuter 2 commandes:

  1. $ wget -c http://gitso.googlecode.com/files/gitso_0.6.2_all.deb
  2. # dpkg -i gitso_0.6.2_all.deb

Voici les détails pour les grands débutants en ligne de commande:

$ wget -c http://gitso.googlecode.com/files/gitso_0.6.2_all.deb
N’oubliez pas d’appuyer sur la touche [Entrée] du clavier pour exécuter la commande
Pour un si petit paquet, on peut se passer de la commande -c, qui prévient une interruption brutale du téléchargement en cas de pépin sur le réseau.

# dpkg -i gitso_0.6.2_all.deb
Le signe # signifie que vous devez être «root» ou au moins avoir les droits d’administration. Dans maintes distributions, dont Ubuntu et ses variantes et dérivées, on tape sudo avant la commande. Pour en savoir plus: Root et Sudo, GNU/Linux fort en sécurité. Et vous devez taper le mot de passe qui vous permet d’«entrer» sur votre bureau GNU/Linux. Rien ne s’affiche, c’est normal: «GNU/Linux fort en sécurité», vous dit-on.

Cette commande installe le paquet téléchargé dans votre Home (ou «Dossier personnel», en bon français) ainsi que tous les paquets nécessaires au bon fonctionnement de Gitso, ce qu’on appelle les «dépendances», en calquant l’anglais par pure fainéantise.

Patientez jusqu’à ce que l’invite revienne, ce qui signifie que tout a été bien téléchargé, décompressé et installé. Gitso se trouve en principe dans le rayon «Internet» du menu principal de votre GNU/Linux.

Dans Ubuntu, je ne l’ai pas trouvé donc je l’ai lancé sur le terminal en tapant gitso, of course. Je crois qu’Ubuntu voulait que je passe par son Sofware Center. Quand on n’obéit pas, Ubuntu vous punit. C’est idiot. En plus, Gitso a râlé qu’il n’a pas trouvé son icône mais ça ne l’empêche pas de fonctionner. Encore une sottise d’Ubuntu et son Unity pas toujours très commode.

Il est temps maintenant d’aller voir comment utiliser Gitso: Gitso, logiciel malin pour aider les autres à distance.

5 commentaires

  1. Non seulement l’installation de Gitso est simple mais l’utilisation est très amusante.
    J’ai pu voir l’écran de N., écrire sur son Leafpad et elle, me répondre sur la même page. Au début, ce fut un peu lent mais après, ce fut plus correct.

    Pour faire un exercice d’essai, j’ai lancé Synaptic, pour y chercher le plugin de Gutenprint pour Gimp et pour l’installer (toujours utile).

    Ce n’est pas fluide (à cause de notre connexion) et si la souris n’est pas assez précise (car il y a un décalage), il vaut mieux passer par le clavier quand on peut.

    J’ai même pu passer un coup de fil à Christine pendant ces essais, ce qui est une bonne nouvelle, cela veut dire que Gitso et ses accolytes ne prennent pas en otage la connexion internet lorsqu’on se contente de contempler l’écran à distance.

  2. Hum, je trouve l’intérêt de l’installation de Gitso assez limité, dans la mesure où les *Ubuntu installent par défaut le « Partage de bureau » pour celui qui veut se faire aider, et le « Visionneur Remmina » (pour Ubuntu) et un outil équivalent pour Kubuntu pour celui qui veut aider.

    Comme l’outil « Partage de bureau » est capable d’ouvrir tout seul les ports du routeur via uPnP, ça me semble la solution la plus simple de toutes : RIEN à installer ni à paramétrer.

    La seule chose que celui qui veut se faire aider doit faire, c’est trouver son adresse IP pour la communiquer au distant, ce qui est facile en pointant son navigateur sur l’un des milliers de site du genre http://www.mon-ip.com

    Après, si on veut travailler régulièrement à distance avec de bien meilleures performances graphiques et réactivité, on peut utiliser NoMachine NX http://www.nomachine.com , produit non-libre, mais cependant “gratuit pour usage personnel” (et qui permet éventuellement d’ouvrir une session à distance sur une machine sur laquelle personne n’est connecté, ou d’ouvrir une session différente de celle de l’utilisateur local).

  3. Sans doute, Michel, mais nous sommes sous Lubuntu, nous n’avons donc rien du tout, et certains ont désactivé le Plug and Play = UPnP (et variantes capitales et minuscules) sur leur modem-routeur. J’en ai entendu dire beaucoup de mal: imposé par Microsoft = faille de sécurité dont le _Monde informatique_ s’est fait l’écho des années en retard.

    mon-ip.com m’a donné des ip curieuses, donc je m’en tiens au site sérieux que j’ai indiqué dans un des articles sur Gitso.

    D’autre part, il me semblait que Gitso présentait moins de problèmes de sécurité qu’un bureau à distance traditionnel sans tunnel SSH, tout en étant très simple d’installation. Mais je n’ai peut-être rien compris.

    J’ai bien vu qu’il existait NoMachine mais nous n’utilisons que du Libre, c’est un choix que nous suivons scrupuleusement.

  4. Lubuntu est un peu spartiate il est vrai, c’est pourquoi une très petite minorité l’utilise ;-)

    Non, le « Plug and Play » et l’ « UPnP (Universal Plug & Play) » ne sont pas DU TOUT la même chose. Le « Plug and Play » était une norme destinée à automatiser la détection et la configuration des périphériques internes (essentiellement cartes d’extension) sur les PC-AT à bus ISA (sans avoir à régler les interruptions et ports I/O à la mano dans le setup du BIOS) ; ça date d’une grosse quinzaine d’années et est essentiellement obsolète sur toutes les machines encore en service, à bus PCI.
    L’ « UPnP » (Universal Plug & Play) est un service réseau qui permet à une application tournant sur une machine de configurer automatiquement un port-forwarding sur la default gateway (routeur). Ceci est utile essentiellement aux applications peer-to-peer et aux jeux en réseau…
    La grosse faille récemment découverte sur l’UPnP est liée au fait que de nombreux routeurs exposent leur API UPnP côté Internet, alors qu’elle ne devrait être exposée que côté LAN.
    Autant pour la digression, cela dit, une personne ayant la compétence de bloquer l’UPnP sur son routeur, a également celle de configurer son port-forwarding à la main, puisqu’il s’agit de la même interface.

    Dans l’univers Ubuntu, les applications les plus aisément utilisables pour le contrôle de bureau à distance sont :

    • Ubuntu (Gnome/ Unity): Serveur : « vino », client : « remmina », tous deux déjà installés par défaut.
    • Kubuntu (KDE): Server : « krfb », client « krcd », tous deux déjà installés par défaut.
    • Xubuntu (XFce) et Lubuntu (LXDE) n’ont pas ces outils installés par défaut, mais il est très facile d’installer « vino » (serveur) et « remmina » (client) depuis la logithèque Ubuntu. On peut préférer installer, comme serveur, le paquet « x11vnc » (qui est beaucoup plus spartiate que vino, mais contrairement à lui, se crée une entrée de menu).

    Si on est sous XFce ou LXDE, Vino ne crée pas d’entrée de menu, mais peut se lancer en terminal avec les deux commandes (ce qui semble tout de même plus facile que d’installer gitso avec téléchargement manuel hors-dépôts, « dpkg -i » manuel, et pas de mises-à-jour…) :

    • /usr/bin/vino-preferences &
    • /usr/lib/vino-server &

    (L’utilisateur peut toujours se créer une icône-lanceur à la main s’il le souhaite…)

    En matière de sécurité, les implémentations récentes de VNC offrent toutes des options de sécurité SSL ou TLS et n’ont donc pas besoin d’être de surcroît routées dans un tunnel SSH.

    Concernant http://mon-ip.com , je n’ai pas d’actions chez eux ;-) (et j’utilise aussi régulièrement http://checkip.org ), mais mon-ip.com offre des infos complémentaires intéressantes – et son nom est très facile à mémoriser.

    Et enfin, si tu t’intéresses à une version purement GPL de NX, tu peux jeter un oeil sur : http://freenx.berlios.de (apparemment pas récemment maintenu…)

    Voilà-voilà :-)

    Amicalement.

    1. Merci, Michel pour toutes ces précisions. Je pense que WP.com a mis ton message en attente car il était long et il y avait plusieurs liens, donc il était soupçonné d’être un spam. Mais ne t’en fais pas, je regarde au moins tous les 2 jours, sauf exceptions.

      Bodhi Linux est encore plus spartiate que Lubuntu :-) et pourtant plus attirante. Les gens qui ont un ordinateur un peu ancien, style PIV, ne risquent pas d’installer Ubuntu ou Linux Mint Cinnamon. Quant à moi, j’aime bien les distributions petites et légères.

      Ce n’est pas l’installation d’un logiciel qui pose problème aux débutants (il y a tout ce qu’il faut sur la doc d’Ubuntu-fr) mais l’utilisation et le paramétrage.

      Je suis bien d’accord qu’il n’est pas pratique de tenir à jour un paquet installé manuellement. Néanmoins, en l’occurrence et pour un premier essai, Gitso était bien pratique. Je pense que pour la personne côté serveur, lancer vino ou X11vnc était plus difficile.

      D’autre part, Remmina ne dispose d’aucune documentation. Rien sur la doc d’Ubuntu-fr pour l’utiliser, ni sur le site du logiciel, ni ailleurs. Je n’ai aucune connaissance innée, j’apprends en lisant. Donc, je vais essayer de comprendre et je ferai un essai sur le réseau local. J’ai cru comprendre que Remmina peut aussi faire une connexion VNC inversée (VNC-Incoming connection).

      Vinagre + Vino dans les anciennes Ubuntu étaient bien expliqués dans la documentation d’Ubuntu. Mais je ne les ai utilisés que dans notre réseau local.

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